Poésies de zinc
Mémoires de comptoir
Le dernier pour la
route.
Extraits
de Brèves de comptoir
Le
grand café
des brèves de comptoir
-
Vingt quatre heures par jour, tu m’ en
mettrais que vingt deux, je me rendrais compte de rien.
<!-- Google Tag Manager
height="0" width="0" style="display:none;visibility:hidden">-->
Merci de votre visite et bonne journée à toutes et tous !
Retrouvez dom44 sur Hellocoton
-->
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ecrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus
Merci pour votre visite .